Je les adorais, j’en avais des dizaines que j’allumais dès que je pouvais… jusqu’au jour où j’ai complètement arrêté.
Le jour où j’ai découvert ce qu’était vraiment la paraffine & de quoi étaient composés ces parfums à l’odeur envoûtante, je n’ai plus voulu acheter de bougies ni même allumer celles que j’avais encore.
Sincèrement, je suis tombée d’assez haut. Surtout quand j’ai creusé un peu plus le sujet, j’ai découvert d’autres motifs de déception.
Du coup, je me suis dit que je n’étais peut-être pas la seule à me poser des questions & à vouloir des réponses sur la composition de toutes ces bougies.
Après en avoir parlé autour de moi, j’ai réalisé que la plupart des amateur.rice.s de bougies savaient intuitivement qu’elles n’étaient pas très bonnes pour la santé, mais ne savaient pas vraiment pourquoi.
Alors ce que je vous propose ici, c’est de partager la quintessence de toutes mes recherches sur le sujet. Ainsi vous allez comprendre pourquoi une bougie ça ne se choisit pas à la légère & quels sont les 5 point indispensables à connaître pour faire un choix éclairé 🙂
Petit avertissement avant de commencer : pour tou.te.s celles & ceux qui auraient encore de belles illusions sur la composition de la plupart des bougies & ne voudraient surtout pas les briser, ne lisez pas la suite !
Quant aux aventurier.ère.s de la Vérité, qui sont prêt.e.s à lever le voile sur la réalité & les secrets de fabrication des bougies, suivez moi, c’est par ici…
Commençons par la cire : le corps de la bougie, l’élément essentiel qui déterminera la durée & la qualité de la combustion.
La paraffine
La cire la plus majoritairement utilisée, par les industriels & les artisans, est donc la paraffine. C’est une des cires les moins chères, elle tient très bien dans le temps & elle diffuse largement les fragrances dans le cas des bougies parfumées. On peut aisément comprendre pour quelle raison elle est choisie, quasiment à l’unanimité, par les fabricants de bougies.
Mais… Creusons un peu : selon Wikipedia, la paraffine est un “produit extrait des résidus solides du pétrole… L’extraction a lieu à basse température, avec du propane liquide additionné aux goudrons qui n’ont pas distillé lors du raffinage”. Donc pour être très claire : c’est ce que l’on récupère au fond des cuves après raffinage du pétrole, le déchet du déchet !
Alors certes, on peut lire ici ou là que le pétrole brut est un “produit naturel puisque issu de la terre & résultat de la décomposition millénaire de végétaux & d’animaux”. Oui, sauf qu’avant d’obtenir le pétrole sous la forme que l’on connaît, il va falloir un sacré processus de raffinage qui s’éloigne quand même pas mal du pétrole brut trouvé tout au creux de la terre. Je vous laisse le soin d’approfondir ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Raffinage_du_p%C3%A9trole
Pour l’anecdote : les vendeurs/marketeurs du business de la paraffine lui donne maintenant l’appellation de “cire minérale”. Ça donne quand même beaucoup plus l’impression d’acheter un truc “propre”. Mais ne vous y trompez pas, il s’agit bien de la même cire de paraffine dont on parle depuis le début. Cire minérale = Cire de paraffine.
Alors en sachant maintenant ce qu’est exactement la paraffine, imaginez ce que allumer une bougie constituée d’hydrocarbures peut représenter pour notre santé…
Et comme si cela ne suffisait pas : la paraffine n’est pas un liant, elle ne colle pas, donc pour fabriquer une bougie il faut généralement lui adjoindre un additif. Pour les ¾ des bougies à la paraffine, la grande gagnante dans le clan des additifs est la stéarine.
Cette dernière est issue…. Attention préparez-vous : du suif ! Alors pour ceux & celles qui ne sauraient pas d’où vient cet ingrédient : c’est un “produit résiduel obtenu par la fonte de la graisse d’espèces animales comme le mouton et le bœuf”. Bon là, on a touché le fond (des cuves).
Alors, petite lueur d’espoir : il existe de l’acide stéarique “végétal”, mais majoritairement issu quand même de l’huile de palme (déforestation & co).
Donc clairement : maintenant que je sais tout ça, je ne retournerai plus jamais en arrière.
Je ne veux plus de ces bougies composées d’hydrocarbures & extraits animaux. Non, non, no way.
La cire d’abeille
Et bien justement, voyons les autres propositions de cire disponibles actuellement, comme la cire d’abeille : la plus naturelle autant dans sa composition que dans son processus de fabrication.
Les abeilles la sécrètent pour construire les rayons qui composent la structure de la ruche où elles pourront conserver le miel, le pollen & les jeunes abeilles.
La cire est récupérée par l’apiculteur.trice puis est chauffée dans l’eau & filtrée avant d’être prête à être utilisée.
Cette cire, lorsque elle est naturelle, est de couleur jaune & possède une odeur caractéristique, elle n’est donc pas idéale pour la réalisation de bougies parfumées à tout autre chose qu’à la cire d’abeille.Si vous souhaitez en savoir plus sur la cire d’abeille & ses différentes utilisations, cette page est pour vous : https://alternativi.fr/comment-utiliser-la-cire-d-abeille-de-facon-responsable/349
Malgré toutes ses qualités, cette cire est directement issue de l’exploitation animale.
Et ça leur demande quand même beaucoup de travail aux abeilles cirières, puisqu’il leur faut consommer 8 kg de miel pour obtenir 1kg de cire…
A titre personnel, j’ai fait le choix de fortement réduire ma consommation & utilisation de produits non vegans. Donc, le miel durable (& ses vertus) je continue, mais pour des bougies, non merci je zappe la cire d’abeille. Si vous faites un choix différent, préférez la d’origine française & issue de ruches gérées durablement.
La cire de soja
Nous en arrivons au dernier type de cire : la végétale. Dans cette catégorie, la plus utilisée actuellement est la cire de soja. Il y en a d’autres, comme la cire de colza ou de coco par exemple, mais leur production, en France en tout cas, est encore assez restreinte.
L’huile de soja, obtenue par pressage des fèves de soja, subit un processus d’hydrogénation afin d’être rendue solide & ainsi transformée en cire. Elle est végétale, non toxique, biodégradable & se consume plus lentement que la paraffine.
Attention, il est très courant de trouver des bougies à la cire de soja mais pas pure : dans la cire ont été ajoutés des additifs (re-bonjour stéarine) & même de la paraffine… On ne s’en sort pas !
Il y a 1 an, j’ai acheté une petite bougie sur un marché d’artisan.e.s.
Sur le stand était présent un panneau sur lequel était noté “Cire de soja”, donc très fière de mes connaissances nouvellement acquises sur la paraffine, j’achète cette bougie aux senteurs délicieuses (sujet dont on en reparlera plus loin).
Quelques jours plus tard, après l’avoir allumée une 3ème fois, je me dis que quand même une si petite bougie qui arrive à diffuser ce parfum dans une si grande pièce, c’est quand même magique… & je suis allée me renseigner sur leur site web. Détail de la composition de leur bougie : “20% cire de soja, 80% de paraffine”. Arrgh.
Moralité : toujours choisir du 100% cire de soja & ne pas hésiter à demander si les détails ne sont pas clairement affichés.
Une dernière info incontournable sur la cire de soja : choisissez la sans pesticides, sans OGM & issue de plantations gérées durablement, histoire d’éviter la culture intensive, très répandue dans le cas des fèves de soja.
Et oui, c’est souvent le même problème : plus on est nombreux à faire le choix de consommer un produit & plus cette demande devra être satisfaite par les producteurs, quitte à employer des moyens pas très réglos & sans aucun soin, ni respect de la Nature. Et tout ça pour nous vendre un produit pas cher mais en énorme quantité (voir l’exemple de la déforestation massive pour récupérer, de manière non éthique, le bois sacré d’Amazonie, le Palo Santo, utilisé ensuite comme encens purifiant : https://thecostaricanews.com/increasing-the-awareness-against-the-deforestation-of-the-palo-santo-tree/ ). Comme vous le savez déjà, il est encore & toujours de notre responsabilité de consommateurs de s’informer pour faire des choix éclairés, en conscience.
Ainsi la cire de soja, sous réserve d’être pure, bio & cultivée dans le respect de la Nature, est la grande gagnante parmi les cire disponibles actuellement.
Jusqu’à la prochaine qui cumulera autant de bons points & peut-être même encore plus !
Parlons maintenant du 2ème thème sujet à controverse : les fragrances utilisés dans les bougies parfumées.
Parfums synthétiques
Et oui je sais, j’aurais pu m’en tenir là & m’arrêter au “win” de la cire de soja. C’est très bien aussi une bougie sans parfum. Mais non, j’aime les odeurs agréables & puis j’ai le goût du challenge…
Donc concernant les parfums utilisées pour les bougies, il s’agit dans la plupart des cas de fragrances synthétiques, parce que oui l’odeur de vanille/fraise tagada ça ne se trouve pas à l’état naturel, ni même celle du linge propre d’ailleurs.
Donc si on veut absolument ce parfum dans sa bougie, il faut qu’il soit fabriqué artificiellement, c’est comme ça.
On aurait pu s’en tenir à ça : les arômes des bougies parfumées sont synthétiques & c’est ok car après tout on est habitués à consommer des trucs artificiels, il suffit de regarder autour de nous : plastique, faux bois, PVC…
Mais en fait, nouvelle aberration : la plupart des ces parfums sont pointés du doigt pour les phtalates & autres substances CMR (Cancérigène, Mutagène & Reprotoxique) qui les composent.
Pour simplifier, les phtalates sont des plastifiants, des composés chimiques que l’on retrouve dans de nombreux objets en PVC du quotidien (chaussures, jouets…), mais aussi dans l’alimentation, les cosmétiques…
En parfumerie par exemple, ils permettent de fixer le parfum.
Certains phtalates sont interdits par la législation européenne, mais d’autres, considérés comme moins toxiques, sont encore utilisés par de nombreux producteurs de fragrances.Les phtalates sont des perturbateurs endocriniens, donc mieux vaut s’en tenir éloigné.e.s, d’autant plus lorsque l’on a la possibilité de choisir.
Les CMR sont des composés chimiques considérés comme particulièrement dangereux : C pour Cancérigènes, M pour Mutagènes (effets potentiels de mutations génétiques) & R pour Reprotoxiques (toxiques pour la reproduction).
Les substances concernées par ce terme de CMR peuvent l’être parce qu’elles provoquent un de ces effets ou même les 3 !
L’IFRA (International Fragrance Association – Association de la Parfumerie Internationale) a pour but de promouvoir l’utilisation de fragrances respectueuses de la santé humaine & de l’environnement. Pour ce faire, elle a développé un programme scientifique dédié & a défini un code des bonnes pratiques destiné aux industriels du domaine.
Il existe même un certificat permettant de vérifier que le parfum synthétique utilisé réponde bien aux normes européennes définies par l’IFRA.
Depuis 2006 en Europe, la réglementation REACH (Registration, Evaluation, Authorization and restriction of CHemicals) vise la suppression des substances chimiques considérées comme très dangereuses & la régulation contrôlée des autres.
Elle impose aux acteurs de l’industrie chimique de faire la preuve que les composants utilisés dans leur produits n’ont pas d’effets nocifs sur les êtres humains & l’environnement.
C’est un pas dans la bonne direction mais encore beaucoup (trop) d’entreprises ne respectent pas ce règlement.
Mais là aussi, il est possible de vérifier auprès des fabricants que la substance chimique concernée a bien été évaluée, autorisée & enregistrée dans la base de données REACH.
N’hésitez pas à vérifier de quoi sont composées les bougies qui vous intéressent (encore plus attentivement dans le cas des cosmétiques). Leurs fragrances sont-elles bien garanties sans phtalates & sans CMR ?
Alors, oui c’est sûr que le nombre de parfums synthétiques proposés sans ces constituants chimiques dangereux est plus réduit, mais ça en vaut la peine !
Une fois de plus, quand on est informé.e.s, cela nous donne la possibilité d’effectuer un choix plus fort, en conscience.
Huiles essentielles
Une autre option pour les bougies parfumées est de les choisir aux huiles essentielles pures & naturelles & idéalement d’origine biologique.
Là, c’est le double jackpot : en plus de respirer une odeur agréable, vous bénéficiez aussi des bienfaits de l’aromathérapie (utilisation des huiles essentielles dans le but d’améliorer le bien-être, physique & mental, d’un individu).
Les propriétés & bienfaits des huiles essentielles sont optimums lorsque l’on utilise une diffusion à “froid” afin de garder toutes leurs molécules intactes.
Mais si pour vous, la vie ne peut être envisagée sans au moins une bougie parfumée à portée de nez, alors autant profiter de ces parfums issus de la nature & qui, même à chaud, vous font bénéficier de leurs qualités.
J’en reparlerai plus longuement dans un prochain article dédié à l’aromathérapie & à l’olfactothérapie.
Mais attention, les huiles essentielles sont puissantes, ainsi il est important de bien se renseigner avant de les choisir, quel que soit le mode d’utilisation (application cutanée, voie olfactive, voie orale…). Certaines sont déconseillées aux enfant de moins de 6 ans, aux femmes enceintes & aux animaux domestiques.
Dans une bougie uniquement parfumée aux huiles essentielles, l’idéal est que leur dosage soit compris entre 1 & 5 % seulement.
Alors, certes, l’odeur est plus subtile que celle des parfums synthétiques mais les huiles essentielles sont naturelles & les effets bénéfiques, réels. Et ça ça change tout !
Le 3ème point auquel prêter attention lorsque vous souhaitez acheter une bougie : la mèche. L’âme de la bougie.
C’est la mèche de la bougie qui est chargée de “transporter” la cire vers la flamme, elle est aussi le support de combustion. Elle joue donc un rôle central & c’est pour cela qu’il est nécessaire de bien la choisir elle aussi.
Fait assez surprenant : on trouve encore des bougies composées de mèche ayant un noyau métallique (plomb, zinc ou étain).
Même si le plomb est, dans ce cas, le métal le plus nocif pour notre santé, le zinc & l’étain libèrent eux aussi, en se consumant, des traces de métaux lourds dans l’atmosphère. Donc à éviter !
Concernant ce sujet, le conseil est très simple : choisissez uniquement des bougies ayant une mèche 100% coton ou en coton tressé autour d’une âme en papier.
Les mèches en bois sont tout aussi recommandées, il faut juste pouvoir apprécier le crépitement qui va avec.
Actuellement, pour les mèches, ces 3 options sont majoritairement utilisés par les fabricants de bougies artisanales. A voir ce qu’il en est du côté des “industriels”.
Dans le doute, comme d’habitude, n’hésitez pas à poser la question.
Le 4ème point essentiel à vérifier lors de votre achat concerne la couleur de la bougie
Une bougie à base de cire végétale naturelle comme le soja est blanche par défaut, blanc cassé pour les plus sombres.
Donc si vous souhaitez une bougie colorée, un colorant sera nécessairement utilisé .
Colorants synthétiques
Habituellement les colorants les plus utilisés sont synthétiques car les couleurs sont plus vives & tiennent mieux dans le temps. Mais de quoi sont-ils composés ?
Quand ils sont sous forme de pastilles de cire, il s’agit en général d’un mélange de paraffine (it’s back !) & de produits solvants.
Les colorants liquides eux, sont majoritairement composés de benzoate de sodium & de solvants aromatiques.
Quant à la forme en grains, c’est l’aniline qui est utilisée.
L’aniline est un composé organique dérivé du benzène… re-hello pétrole !
Voici ce que nous en dit Wikipedia : “l’aniline, très toxique, doit être manipulée avec précaution. La classification CEE (étiquetage réglementaire des substances et préparations dangereuses) l’a classée comme « très toxique pour les organismes aquatiques, et dangereuse pour l’environnement »”. Voilà, voilà.
Il est difficile d’avoir plus de détails concernant la composition exacte de ces colorants synthétiques, quelle que soit leur forme (pastilles, grains, liquides…).
Si vous avez plus d’infos à ce sujet, n’hésitez pas, je suis preneuse.Mais j’ai quand même l’impression qu’il s’agit, là encore, d’un secret bien gardé.
Colorants naturels
Bon, si vraiment vous pensez vivre votre meilleure vie avec une bougie colorée chez vous, l’idéal est de la choisir à base de colorant naturel.
Il existe des poudres colorantes minérales appelées micas (dioxyde de titane, oxyde de fer, oxyde de chrome…). Elles sont généralement utilisées pour décorer ou colorer l’extérieur de la bougie.
Mais attention, beaucoup ne sont pas forcément naturelles & quand elles le sont, ce qui est mis en cause sont les conditions d’extraction, souvent illégales & liées à l’exploitation des enfants.
Les fabricants de bougie utilisant ces colorants minéraux doivent faire l’effort de choisir des micas éthiques, ce qui se vérifie très facilement auprès du fournisseur.
Il existe aussi des poudres végétales à base de plantes tinctoriales. Ces plantes comme l’indigotier, la camomille ou le curcuma contiennent des pigments colorants.
En règle générale, il n’est pas recommandé d’utiliser des poudres dans une bougie car cela peut créer des perturbations lors de la combustion.
Donc la dernière possibilité, idéale pour colorer une bougie de façon naturelle, repose sur les huiles végétales. Par exemple, l’huile d’avocat pour obtenir du vert, l’huile de millepertuis du rose, l’huile de carotte du orange…
Généralement, quand il s’agit de colorants naturels, les couleurs sont plus douces & pastels que leurs homologues synthétiques mais au moins elles sont 100% naturelles (sous réserve de connaître leur origine bien sûr).
Et le choix devient facile !
5ème & dernière info importante pour choisir votre bougie : son origine de fabrication.
Pour des raisons environnementales, économiques, éthiques, nous sommes actuellement de plus en plus nombreux.ses à préférer acheter local ou au moins national.
Nous nous sentons concerné.es quant à l’origine de ce que nous consommons & des conditions de fabrication des produits que nous utilisons.
Nous souhaitons aussi majoritairement soutenir les activités artisanales à forte valeur ajoutée proposant un travail de qualité, éthique & respectueux du vivant.
Ainsi les bougies, présentes dans nombre de nos lieux de vie, ont leur juste place dans cette logique.Pour avoir une solide garantie de la qualité des ingrédients utilisés, il n’y a pas de secrets : achetez en conscience à des fabricants artisans enthousiastes & surtout transparents quant à leur activité (ingrédients & mode de production).
Un 6ème conseil bonus, indispensable à votre santé & à votre sécurité.
Rappelez vous que les bougies, comme tout phénomène de combustion (encens, feu de cheminée, barbecue…), émettent des particules fines, donc on suit la recommandation sanitaire en cours : bien aérer son logement au moins 15 mn par jour afin d’évacuer toute pollution intérieure (bougie ou pas d’ailleurs).
Et bien sûr, quand une bougie est allumée, on prend toutes les précautions nécessaires pour qu’il n’y ait qu’elle qui brûle !
Maintenant c’est simple, c’est moi qui les fabrique 🙂
Si vous avez lu cet article en entier, vous comprenez aisément l’évidence qui s’est finalement imposée à moi : “si je tiens à continuer à illuminer mon quotidien de bougies les plus naturelles possible, alors je vais les créer moi-même & tant qu’à faire j’y rajouterai une petite dose de magie supplémentaire…”
Voici comment est née l’aventure my HappyKarma : des bougies enchantées aux ingrédients 100% d’origine naturelle & éthiques combinant la force des huiles essentielles & les bienfaits des pierres & cristaux (bientôt un prochain article sur la lithothérapie). Le tout fabriqué artisanalement à Bordeaux.
L’alignement joyeux d’un travail de qualité & de ma vision de la bougie idéale 🙂
J’espère que cet article vous aura aidé à y voir plus clair sur la composition des bougies & que vous serez ainsi paré.e.s pour mieux acheter les prochaines !
N’hésitez pas à me faire part de toutes vos remarques, suggestions & idées : contact@myhappykarma.fr
Merci & à très bientôt !
Bises de lumière ✨
Gaëlle de my HappyKarma